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"En changeant d’appellation selon les époques :
« taverne, estaminet, troquet, café, bar... » le bistrot a toujours gardé pour principale raison d’être d’étancher la soif. Lieu de rencontre, il s’est aussi parfois transformé en « Chapelle »
où le vin provoque le mot d’esprit, le débat, parfois la querelle. Depuis le Moyen-Âge, les gens de plume y ont pris table et cherché l’inspiration. Parmi eux Antoine Blondin se définissait ainsi : « Je
ne suis pas un écrivain qui boit, je suis un buveur qui écrit. »" (Le bistrot dans la littérature)