EPHEMERIDE

 

 


Sandrine Bonnaire marraine de la 22e édition du Printemps des Poètes "LE COURAGE"

Une réalisatrice qui n’a pas craint de mettre sa notoriété à nu dans Elle s’appelle Sabine, ou comment l’enfer de l’internement a ravagé la joie et le visage de madone de sa jeune sœur autiste.



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"PS/ ce n’est pas un hasard si l’anniversaire des 100 ans de Boris Vian, le 10 mars 2020, tombe en ouverture de cette édition dédiée au Courage. Car celui qui ne voulait pas crever Sans qu’on ait inventé / Les roses éternelles / La journée de deux heures / La mer à la montagne / La montagne à la mer / La fin de la douleur, celui qui savait que La vie, c’est comme une dent / D’abord on y a pas pensé / On s’est contenté de mâcher / Et puis ça se gâte soudain / Ça vous fait mal, et on y tient /Et on la soigne et les soucis / Et pour qu’on soit vraiment guéri / Il faut vous l’arracher, la vie. Celui-là qui écrivait comme quatre, chantait du soir au matin et jouait comme personne, l’enfant de Ville-d’Avray, le joyeux condamné de la Cité Véron, ce singulier et magnifique poète de 39 ans savait ce qu’il en était de vivre."

Sophie Nolleau

 

Commentaires

06.04 | 06:20

Emerger de notre vivier , aprés y avoir puiser toutes les émotions .
Ecrire , crypter ce vécu , cette traversée .....

10.10 | 11:28

Aimer ne se négocie pas - oh que non. L'amitié non plus. Amour Amitié ces deux piliers de la vie - Merci Annie de si bellement nous le rappeler.

25.01 | 06:56

MAGISTRAL, DEVOS

06.08 | 13:40

Bonjour Anne Marie,

Quel plaisir d'écouter Pascal Quignard, que je n'ai jamais réussi à lire, je vais essayer à nouveau avec "l'Homme au trois lettres".

marc