« En écrivant, j’ai raccommodé mon moi déchiré : dans la nuit, j’ai écrit des soleils » nous
confie Boris Cyrulnik : quand je lis cet aveu, un tableau de Soulages se coule dans la nuit de Van Gogh pour n’en faire qu’un qui vit dans un au-delà du réel plus réel que le réel même.
"Adieu Adieu
Soleil cou coupé "
Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913