EPHEMERIDE

 « Tout être peut tirer parti de ce qui le met en péril, y puiser les raisons de se battre et s’avancer en équilibre au-dessus de l’épouvante ».

 

Cet été, le musée Fabre de Montpellier expose 200 œuvres qui retracent l’œuvre du peintre Vincent Bioulès des années 1950 à nos jours. Artiste né à Montpellier en 1938, son parcours est tout à fait étonnant : après avoir participé aux mouvements ABC Productions et Supports/Surfaces, ce dernier réputé pour sa conception iconoclaste de la peinture, il est l’un des acteurs majeurs du retour à la figuration dès le milieu des années 1970. Peintre hors pair, il cherche la subversion au sein de la tradition en revisitant les grands sujets picturaux : le paysage, le portrait, le nu… avec une liberté extraordinaire.

"Quand on parcourt la rétrospective d’un grand peintre, comme l’occasion s’offre ici, trois questions normales et communes viennent : « d’où tire-t-il tout ça ? » (la création), « que signifie ce qu’il nous présente ? » (la révélation), et « que vaut, pour mon propre destin, ce qu’on m’invite à rencontrer ici ? » (le salut)."

Marc Wetzel( revue TRAVERSEES) Evidemment ces trois questions valent pour toute création.


Commentaires

06.04 | 06:20

Emerger de notre vivier , aprés y avoir puiser toutes les émotions .
Ecrire , crypter ce vécu , cette traversée .....

10.10 | 11:28

Aimer ne se négocie pas - oh que non. L'amitié non plus. Amour Amitié ces deux piliers de la vie - Merci Annie de si bellement nous le rappeler.

25.01 | 06:56

MAGISTRAL, DEVOS

06.08 | 13:40

Bonjour Anne Marie,

Quel plaisir d'écouter Pascal Quignard, que je n'ai jamais réussi à lire, je vais essayer à nouveau avec "l'Homme au trois lettres".

marc