"Les grands départs c’est pour les poètes…
La crinière en avant, les étoiles dans le vent.
Le cheval fraîchement se mouvoit dans le ciel, l’air en
transe. À vue de nez c’est le mois de juillet.
Les lumières au loin, pleines de questions illuminent en petits carrés éclairés de mystères, ceux des yeux de l’enfance questionnant le néant.
Magistères à foison.
Le cheval vole au loin, c’est un Pégase né avec des ailes blanches et un cou doré, il vient comme un mirage montrer aux créateurs imaginateurs que la seule façon de rêver,
c’est de créer !"