"« Je conçois le journalisme comme une sorte de journal à demi intime,
écrit Mauriac au début de son Journal,
comme une transposition, à l’usage du grand public, des émotions et des pensées quotidiennes suscitées en nous par "l’actualité".
Sur ce plan, il arrive qu’une maladie ou une simple lecture prenne presqu’autant de valeur qu’une révolution. C’est leur retentissement dans notre vie intérieure qui mesure l’importance des événements . »
"
Mauriac