Le tableau sans limite
Rejoint la mer des signes
Sur des croissants de lune
Quel bleu
Quand l’élément survient en pellicule d’eau !
La couleur se fond marine
Des pépites nagent qui songent
Et battent le poulpe des palimpsestes Song
La phosphorescence éclabousse de griffes
Immense le tableau plus encore
Plus loin
Et puis
Ô la source pure et simple et blanche ou presque !
Le regard appelé
S’immerge et se transforme
Suspendu
Ardente
Une musique alors en pleine aube éclatée
Fluide dans des bouquets assoiffés
De lumière.
Anny C.