Comme Boutès plongea dans les flots mythologiques, réveillé par Pascal Quignard dans « L’homme aux trois lettres », je dois avoir l’audace de plonger
dans l’écriture, algue devenue, devenant peintre avec une étrange palette onirique bercée par une musique inouïe, jusqu’au silence pur et salvateur.
« Comme l’ombre qui perd son temps à dessiner mon théorème »
(Leo Ferré)
Anny C.
REBUS ET ENTRELACS