DEDICACE

 

 Comme Boutès plongea dans les flots mythologiques, réveillé par Pascal Quignard dans « L’homme aux trois lettres », je dois avoir l’audace de plonger dans l’écriture,  algue devenue, devenant peintre avec une étrange palette onirique bercée par une musique inouïe, jusqu’au silence pur et salvateur. 

 

 « Comme l’ombre qui perd son temps à dessiner mon théorème » (Leo Ferré)

 

Anny C.

REBUS ET ENTRELACS

 

Commentaires

06.04 | 06:20

Emerger de notre vivier , aprés y avoir puiser toutes les émotions .
Ecrire , crypter ce vécu , cette traversée .....

10.10 | 11:28

Aimer ne se négocie pas - oh que non. L'amitié non plus. Amour Amitié ces deux piliers de la vie - Merci Annie de si bellement nous le rappeler.

25.01 | 06:56

MAGISTRAL, DEVOS

06.08 | 13:40

Bonjour Anne Marie,

Quel plaisir d'écouter Pascal Quignard, que je n'ai jamais réussi à lire, je vais essayer à nouveau avec "l'Homme au trois lettres".

marc