Cela passait par la mémoire,
venait très doux
comme une main posée sur l’épaule,
une victoire distraite de l’absence.
Le matin seulement,
sur ses premiers pas,
une rouille fugitive
pour surprendre la saison.
Non l’avenir
qui se grime en promesse,
mais ce bord perdu
à rêver la saveur du temps.
Paul Farellier
Commentaires
06.04 | 06:20
Emerger de notre vivier , aprés y avoir puiser toutes les émotions . Ecrire , cry...
10.10 | 11:28
Aimer ne se négocie pas - oh que non. L'amitié non plus. Amour Amitié ces de...
25.01 | 06:56
MAGISTRAL, DEVOS
06.08 | 13:40
Bonjour Anne Marie, Quel plaisir d'écouter Pascal Quignard, que je n'ai ...