Au fil des mots

EPHEMERIDE

LE SOLEIL

ARTE. LE SOLEIL_MUNCH

https://youtu.be/vZnYrbBTNks

Le Musée d’Orsay expose Edvard Munch: « Un poème d’amour, de vie et de mort ».

 

 

« Je me promenais sur un sentier avec deux amis — le soleil se couchait — tout d’un coup le ciel devint rouge sang. Je m’arrêtai, fatigué, et m’appuyai sur une clôture — il y avait du sang et des langues de feu au-dessus du fjord bleu-noir de la ville — mes amis continuèrent, et j’y restai, tremblant d’anxiété — je sentais un cri infini qui passait à travers l’univers et qui déchirait la nature. »"Nous sommes tous propriétaires de l' œuvre d’art. L’ œuvre d’un peintre ne doit plus se dissoudre en une petite tâche qui orne les murs d’une habitation, et que seules quelques personnes peuvent voir. On a là un art différent qui prend des formes nouvelles. Peut-être l’art deviendra-t-il à nouveau propriété collective, comme aux temps antiques. Peut-être le reverra-t-on sans les bâtiments publics et dans les rues ? "

ED.Munch

 

Edvard Munch (En collaboration avec le musée Munch d’Oslo, le musée d’Orsay consacre une exposition au célèbre peintre norvégien Edvard Munch (1863-1944) dont l’œuvre dans son ampleur – soixante ans de création - et sa complexité demeure pourtant en partie méconnue.)

 

 

 

Comme Proust, il a consacré sa vie à la création.

 

"Mon art est une confession que je fais de mon plein gré, une tentative pour tirer au clair, pour moi-même, mon rapport avec la vie... C'est au fond une forme d’égoïsme, mais je ne renonce pas à espérer qu'avec son aide je parviendrai à aider d'autres gens à se comprendre." ED.Munch.

 

Quant à ce CRI...ne projette-t-il pas son écho, jusqu'à  l’œuvre de Duras ? ("Écrire, c'est hurler sans bruit") ?

Quelle modernité !

Contrairement à ce que l’on croit, c’est la nature, et non pas le personnage, qui hurle dans ce tableauC’est ce que Munch lui-même a écrit :

 

« Je me promenais sur un sentier avec deux amis — le soleil se couchait — tout d’un coup le ciel devint rouge sang. Je m’arrêtai, fatigué, et m’appuyai sur une clôture — il y avait du sang et des langues de feu au-dessus du fjord bleu-noir de la ville — mes amis continuèrent, et j’y restai, tremblant d’anxiété — je sentais un cri infini qui passait à travers l’univers et qui déchirait la nature."

Ed. Munch

Mais encore...

MELANCOLIE :

Commentaires

06.04 | 06:20

Emerger de notre vivier , aprés y avoir puiser toutes les émotions . Ecrire , cry...

10.10 | 11:28

Aimer ne se négocie pas - oh que non. L'amitié non plus. Amour Amitié ces de...

25.01 | 06:56

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06.08 | 13:40

Bonjour Anne Marie, Quel plaisir d'écouter Pascal Quignard, que je n'ai ...