le préfère poète...
"Je n’avais que dix-sept ans,
Mourir sans faire l’amour
Me paraissait
bien triste.
Faut-il toucher la mort
Pour connaître la vie ?
Nous avons tous des corps`
Fragiles, inassouvis.
Laoshu
Fin de soirée,
Les vagues glissent
Sur le métal du casino
Et le ciel vire à l’indigo,
Ta
robe est très haut sur tes cuisses.
Camélia blanc dans une tresse
Des cheveux lourds et torsadés,
Ton
corps frémit sous les caresses
Et la lune est apprivoisée."
Extrait de:
Renaissance
Michel Houellebecq
Commentaires
06.04 | 06:20
Emerger de notre vivier , aprés y avoir puiser toutes les émotions . Ecrire , cry...
10.10 | 11:28
Aimer ne se négocie pas - oh que non. L'amitié non plus. Amour Amitié ces de...
25.01 | 06:56
MAGISTRAL, DEVOS
06.08 | 13:40
Bonjour Anne Marie, Quel plaisir d'écouter Pascal Quignard, que je n'ai ...