« -Je passais par hasard, je passais pour te voir…il fait bon chez toi, est-ce que je garde le masque ?
-Non, nous ne sommes que deux, nous gardons simplement la distance. J’ai fait une grande sieste, mes nuits sont étranges. J’étais en train d’allumer le feu, nous allons
boire un thé.
Les rencontres, en ce temps confiné, se font plus intimes, les groupes s’agitent plutôt sur les réseaux sociaux. Nous bavardons, comme lors des visites d’autrefois, les napperons en dentelles sortent des armoires cirées. Le charme de l’ancien flirte avec les temps présents. Que préférons-nous désormais: ces solitudes habitées ou les anciens cocktails très courus ? Devenons-nous fléaux de balances ou bien fléaux tout court, instruments de la colère divine?" Anny C.(in REBUS inédit)
Claude Monet
Commentaires
06.04 | 06:20
Emerger de notre vivier , aprés y avoir puiser toutes les émotions . Ecrire , cry...
10.10 | 11:28
Aimer ne se négocie pas - oh que non. L'amitié non plus. Amour Amitié ces de...
25.01 | 06:56
MAGISTRAL, DEVOS
06.08 | 13:40
Bonjour Anne Marie, Quel plaisir d'écouter Pascal Quignard, que je n'ai ...