"L’aurore apparaissait ; quelle aurore ? Un abîme
D’éblouissement, vaste, insondable,
sublime ;
Une ardente lueur de paix et de bonté.
C’était aux premiers temps du globe ;
et la clarté
Brillait sereine au front du ciel inaccessible,
Étant tout ce que Dieu peut avoir de visible ;
Tout s’illuminait, l’ombre et le brouillard obscur ;
Des avalanches d’or s’écroulaient dans
l’azur ;"
Victor Hugo
Extrait(La légende des siècles)
&
Andrew Wyeth – Wind from the Sea, 1947
Vu de l’intérieur d’une pièce, un rideau léger et transparent soulevé par le vent devant une fenêtre ouverte.Pourquoi ce tableau est-il fascinant? De l'intérieur à l'extérieur, il touche à l'intime, comme le vent qui soulève le rideau.
Commentaires
06.04 | 06:20
Emerger de notre vivier , aprés y avoir puiser toutes les émotions . Ecrire , cry...
10.10 | 11:28
Aimer ne se négocie pas - oh que non. L'amitié non plus. Amour Amitié ces de...
25.01 | 06:56
MAGISTRAL, DEVOS
06.08 | 13:40
Bonjour Anne Marie, Quel plaisir d'écouter Pascal Quignard, que je n'ai ...