« En écrivant, j’ai raccommodé mon moi déchiré : dans la nuit, j’ai écrit des soleils » nous confie Boris Cyrulnik : quand je lis cet aveu, un tableau de Soulages se coule dans la nuit de Van Gogh pour n’en faire qu’un qui vit dans un au-delà du réel plus réel que le réel même.
"Adieu Adieu
Soleil cou coupé "
Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913
Commentaires
06.04 | 06:20
Emerger de notre vivier , aprés y avoir puiser toutes les émotions . Ecrire , cry...
10.10 | 11:28
Aimer ne se négocie pas - oh que non. L'amitié non plus. Amour Amitié ces de...
25.01 | 06:56
MAGISTRAL, DEVOS
06.08 | 13:40
Bonjour Anne Marie, Quel plaisir d'écouter Pascal Quignard, que je n'ai ...