Planètes, je secoue le tissu de la nuit
entre mes mains qui pensent par silence
et vous tombez en fruits, en feuilles, en sable
dans la bouche inlassable des ruisseaux.
Ici, où tout se joue près de l’arbre et de l’eau
sur cette étroite Terre inscrite dans le verbe
à jamais au mot vert
l’univers infini et ses océans d’astres
n’est que l’air qui commence
aux branches du verger
MARC ALYN
Commentaires
06.04 | 06:20
Emerger de notre vivier , aprés y avoir puiser toutes les émotions . Ecrire , cry...
10.10 | 11:28
Aimer ne se négocie pas - oh que non. L'amitié non plus. Amour Amitié ces de...
25.01 | 06:56
MAGISTRAL, DEVOS
06.08 | 13:40
Bonjour Anne Marie, Quel plaisir d'écouter Pascal Quignard, que je n'ai ...